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Site De Rencontre Pour Personne Seropositive. Ahenobarbus a écrit Vieux_Mongol a écrit Ahenobarbus a écrit Vieux_Mongol a écritDonc, vos conseils "de terrain" sont ? Qu'ils apprendront sur le terrain. Vous appellez ça une réponse ? J'en conclus donc qu'il s'agit bien de ne pas donner de conseils et seulement du plaisir de pourrir le fil...[/quoteC'est un vrai conseil, ne soyez pas condescendant. On peut lire une bibliothèque de conseils, c'est être en classe qui est le plus formateur. Analyser l'échec d'une séance. Et ça ça se fait facilement tout seul quand on débute ? Le but du fil était de donner des conseils pour rendre opérationnel rapidement des débutants. Si vous avez des exemples précis de causes fréquentes d'échec c'est parfait. Sinon ce genre de déclaration c'est du vent et rien de 5 Vieux_Mongol a écrit Ahenobarbus a écrit Vieux_Mongol a écrit Ahenobarbus a écritQu'ils apprendront sur le terrain. Vous appellez ça une réponse ? J'en conclus donc qu'il s'agit bien de ne pas donner de conseils et seulement du plaisir de pourrir le fil...[/quoteC'est un vrai conseil, ne soyez pas condescendant. On peut lire une bibliothèque de conseils, c'est être en classe qui est le plus formateur. Analyser l'échec d'une séance. Et ça ça se fait facilement tout seul quand on débute ? Le but du fil était de donner des conseils pour rendre opérationnel rapidement des débutants. Si vous avez des exemples précis de causes fréquentes d'échec c'est parfait. Sinon ce genre de déclaration c'est du vent et rien de plus. Ah les profs... heureux d'en côtoyer qu'au travail. Ciao l' hussards doivent bien rigoler Ha_xExpert spécialisé Matteo a écritDu coup vient une question comment on fait un bon cours magistral/dialogué ? Je me suis senti assez audacieux pour essayer uniquement vers le mois de mai, et ça n'a pas bien marché, trop de mauvaises habitudes à force de répéter des dizaines de fois le même schéma. Le magistral/dialogué ne peut en effet fonctionner que si les élèves y sont habitués depuis le début de l'année, qu'ils y adhérent, et qu'il y a assez d'élèves intéressés dans la classe si c'est pas le cas et que t'as un paquet de mollusques en face, ben tu fais du magistral et ce n'est pas du tout grave Je vidéo-projette pas mal, j'essaye de faire réagir sur documents, je pratique souvent la vidéo d'intro un peu choc sur certains sujets. on rejoint les questions sur l'accroche Des fois ça marche, des fois moins. Attention dans magistral/dialogué, magistral vient en premier. Tu parles, tu animes, tu gères, donc gestion de classe au carré. Car il y a des heures de cours où ton dialogue va se casser la binette sur des réalités biologico/scolaires classiques ....SpoilerAlors pour du bon magistral/dialogué, ou pour du bon magistral tout court beaucoup de documents à montrer, beaucoup de documents à faire lire/analyser, beaucoup de choses à dire, avoir parfaitement révisé son sujet, être au carré sur les le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirsElyasEsprit sacréPardon mais le magistral est sans doute l'une des techniques les plus difficiles à mettre en oeuvre dans une classe parce qu'il demande - un talent de conteur ou une expérience assez poussée du discours en une écriture en avance du discours et l'intelligence de savoir le une prosodie à anticiper pour que les élèves comprennent le nécessaire à noter et le superflu les élèves lents à l'écrit vous en remercieront.- une organisation du cours magistral pour donner le temps aux élèves de vérifier qu'ils ont bien pris ce qu'il une pédagogie du tableau l'anticipation dans son discours lors de l'écriture et de la réflexion sur la prosodie des connaissances essentielles que les élèves doivent ça, le cours magistral ne servira qu'aux élèves qui aiment ça et aux élèves pro de l'esquive dans le travail parce qu'un cours magistral mal ficelé, c'est l'extase pour eux pour ne rien faire. Ensuite, il y a le public captif qui ne suit pas et n'est pas retenu par manque de construction du cours qui va commencer à faire le sans doute la technique la plus compliquée avec un public hétérogène tout en voulant les faire réussir et apprendre un contenu s'y cassent les dents. D'ailleurs, la plupart des gens préfèrent le cours dialogué qui permet 3 mn de temps magistral de temps en temps à un vrai cours magistral Ahenobarbus a écrit Vieux_Mongol a écrit Ahenobarbus a écrit Vieux_Mongol a écrit Ahenobarbus a écritQu'ils apprendront sur le terrain. Vous appellez ça une réponse ? J'en conclus donc qu'il s'agit bien de ne pas donner de conseils et seulement du plaisir de pourrir le fil...[/quoteC'est un vrai conseil, ne soyez pas condescendant. On peut lire une bibliothèque de conseils, c'est être en classe qui est le plus formateur. Analyser l'échec d'une séance. Et ça ça se fait facilement tout seul quand on débute ? Le but du fil était de donner des conseils pour rendre opérationnel rapidement des débutants. Si vous avez des exemples précis de causes fréquentes d'échec c'est parfait. Sinon ce genre de déclaration c'est du vent et rien de plus. Ah les profs... heureux d'en côtoyer qu'au travail. Ciao l' hussards doivent bien rigoler Et sur cette réponse, merci de quitter effectivement ce fil puisque tes conseils se résument à "Dermerdieren sie sich"._________________"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."Isis39EnchanteurAhenobarbus a visiblement oublié que les hussards étaient très bien formé dans les écoles ProMonarqueAlors que les écoles ne sont plus "normales".Mon conseil principal, être à l'aise devant les pas se "forcer" à être "méchant ou gentil", reconnaître ses éventuelles erreurs, faire comprendre aux élèves devant leurs éventuelles questions qu'on ne peut pas tout savoir mais qu'on leur donnera la réponse à la prochaine heure ou en guettant sur le plus clair possible sur la gestion de classe ne pas "promettre" des punitions qu'on n'appliquera pas, ne pas s'adresser à toute la classe en cas de souci mais aux élèves concernés, demander aide/conseils aux "vieux" enseignants, se renseigner vite sur le fonctionnement de son établissement appel, sanctions, attitude des élèves en classe... , ne pas hésiter à imposer un plan de classe et/ou séparer tout de suite les voisins les cours dès le début sans se noyer dans les explications, fiches renseignements ou autres...Ce serait déjà une bonne chose de faite pour démarrer dans le que ça dure... MalagaModérateurPour préparer un nouveau chapitre je précise que j'enseigne au collège, je commence par lire le programme. Puis je regarde la fiche Eduscol ; la suivre n'est pas obligatoire mais cela aide à comprendre le "sens" du chapitre, ce qui plutôt utile quand on débute. Je me note les connaissances qui me paraissent indispensables à faire acquérir aux élèves ainsi que les compétences que je veux leur faire travailler. Puis j'organise mon chapitre en plusieurs parties le plus souvent 3 ou 4 parties et parfois, ces parties comprennent elles-mêmes des sous-parties. Pour chaque partie, je réfléchis à la façon dont je veux faire bosser mes élèves vont-ils compléter un tableau ? Réaliser une carte ? extraire des infos sur un document pour produire un petit texte ? vont-ils bosser seuls, en binôme, en groupe groupe que je constitue ou que les élèves font etc.. J'écris aussi la trace écrite que j'appelle le bilan que je dicte quand je suis avec des "grands", que j'écris au tableau avec les "petits" bon, ça, j'imagine que ce n'est pas du tout ce qui est demandé dans les INSPE mais, pour moi, c'est la façon la plus efficace de procéder et la plus rassurante pour les élèves. Quand cela me parait utile, je commence avec un document d'accroche pour faire réagir les élèves cela peut être un lien avec l'actualité, une photo qui les interroge etc. _________________ J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ? Ha_xExpert spécialisé Elyas a écritPardon mais le magistral est sans doute l'une des techniques les plus difficiles à mettre en oeuvre dans une classe parce qu'il demande - un talent de conteur ou une expérience assez poussée du discours en une écriture en avance du discours et l'intelligence de savoir le une prosodie à anticiper pour que les élèves comprennent le nécessaire à noter et le superflu les élèves lents à l'écrit vous en remercieront.- une organisation du cours magistral pour donner le temps aux élèves de vérifier qu'ils ont bien pris ce qu'il une pédagogie du tableau l'anticipation dans son discours lors de l'écriture et de la réflexion sur la prosodie des connaissances essentielles que les élèves doivent ça, le cours magistral ne servira qu'aux élèves qui aiment ça et aux élèves pro de l'esquive dans le travail parce qu'un cours magistral mal ficelé, c'est l'extase pour eux pour ne rien faire. Ensuite, il y a le public captif qui ne suit pas et n'est pas retenu par manque de construction du cours qui va commencer à faire le sans doute la technique la plus compliquée avec un public hétérogène tout en voulant les faire réussir et apprendre un contenu s'y cassent les dents. D'ailleurs, la plupart des gens préfèrent le cours dialogué qui permet 3 mn de temps magistral de temps en temps à un vrai cours magistral complet. Moi ça me paraît vachement plus naturel SpoilerIl faut avant tout faire cours de la façon avec laquelle on est le plus à l'aise. Spoiler_________________Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirsMatteoNiveau 6Comment tu gères l'écriture des élèves Ha_x ? Tout est à prendre en note ? Tu fais une partie d'explication/description de quelques minutes sur la base de tes documents puis on note ?Ha_xExpert spécialisé Matteo a écritComment tu gères l'écriture des élèves Ha_x ? Tout est à prendre en note ? Tu fais une partie d'explication/description de quelques minutes sur la base de tes documents puis on note ? Tout n'est pas à prendre en notes non, c'est très cadré. De façon classique ça s'organise ainsi Introduction/présentation/explications - prise en notes de la première partie du cours - étude de docs distribution/lecture/explications - les élèves répondent aux questions - correction/explications - éventuellement un dernier moment d'explication avec éventuellement d'autres documents - prise de notes de la seconde partie du cours/fin du les plus petits, c'est simple, ils savent qu'ils doivent noter ce qui apparaît au tableau, vidéo-projeté, au fur et à mesure ce qui me permet parfois de modifier/adapter en direct/live, vive la fonction freeze , mais c'est toujours mon cours, pour les plus grands, quand c'est dicté, il faut annoncer bien sûr, car il faut éviter, surtout au collège, de laisser les gamins dans le le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirsVieux_MongolNiveau 6Oui comme le dit Elyas de toute manière une heure de cours magistral au sens strict ça n'existe quasiment plus. La norme du frontal en HG c'est le cours dialogué. Par contre il peut exister des "moments magistraux" de longueur plus ou moins variable et au milieu d'autres choses. Je serais étonné qu'un collègue, hors certains cas de lycées très privilégiés, puisse faire du magistral son mode de cours peut se poser la question aussi de savoir si ce qui nous parait naturel et dans lequel on peut être à l'aise correspond entièrement aux besoins des élèves. Quand je suis passé du collège au lycée je suis revenu "naturellement" à un mode de cours frontal. Je n'avais pas de cours prêts et il fallait que je bosse le contenu scientifique. Ça ne m'a pas posé problème car c'est un type de situation d'enseignement pour lequel j'ai des facilités importantes et comme beaucoup d'entre nous j'aime bien parler. Effectivement ça aurait pu tenir jusqu'à la retraite. Mais avec une formation intellectuelle incomplète pour les élèves et un contrat avec l'employeur enseignement des capacités et méthodes pas vraiment rempli. D’où le retour vers de larges moment de travail Ha_x, il ne s'agit pas de démolir mais de donner des conseils. Et donner des conseils c'est forcément rentrer dans une réflexion critique. Sinon il faut totalement refuser de rentrer dans cette démarche de conseil et effectivement dire au collègue "débrouille-toi et fais comme tu le sens". Mais bon, le fil n'a plus lieu d'être. Par ailleurs des conseils les collègues en donnent aux débutants, en salle des profs, en conseils d'enseignement, quand ils sont tuteurs... Et ils ne sont pas 6Personnellement je n'aime pas du tout parler, je suis de ceux qui trouvent leur pensée la meilleure au monde quand elle est dans ma tête et défaillante pour ce qui en sort. Donc un peu comme Elyas je mesure à quel point c'est difficile de véritablement transmettre quelque chose, peu importe les modalités. Ça tombe bien, notre travail n'a pas vocation à être ailleurs, c'est la critique que n'a cessé de me faire le chargé de mission d'inspection, que je n'étais pas assez dans le "récit du professeur", c'est parce que le terrain était 100% pour l'inductif que je n'ai pas écouté ce qu'il m'a dit. Et quand j'ai essayé, je n'ai pas vraiment réussi, parce que j'avais perdu l'occasion de rendre solennelle ma parole dès le début. Et ce "récit du professeur" était une attente forte, visiblement relativement nouvelle vu ce que les collègues pensaient être la séance parfaite à montrer ad nauseam. Donc bon, j'aimerais bien savoir aussi ce que c'est vu qu'on me le franchement, je ne pense pas que les questions sur document les exposés ou les études de cas soient des méthodes particulièrement indépassables de formation intellectuelle aux "méthodes et compétences", pas plus que ne l'était l'infini drill des dissertations. C'est en voie d'être dépassé en haut lieu je pense vu l'emphase sur l'explicite l'explicite l'_xExpert spécialisé Vieux_Mongol a écritSinon Ha_x, il ne s'agit pas de démolir mais de donner des conseils. Et donner des conseils c'est forcément rentrer dans une réflexion critique. Sinon il faut totalement refuser de rentrer dans cette démarche de conseil et effectivement dire au collègue "débrouille-toi et fais comme tu le sens". Mais bon, le fil n'a plus lieu d'être. Par ailleurs des conseils les collègues en donnent aux débutants, en salle des profs, en conseils d'enseignement, quand ils sont tuteurs... Et ils ne sont pas IPR. Certes oui pour les conseils. Donner des conseils très bien, mais j'ai très envie de rétorquer pour quel public ? Tu en fais toi même la démonstration. Matteo a écritPersonnellement je n'aime pas du tout parler C'est quand même un métier où on parle un peu beaucoup quand même, mince je viens de réaliser à quel point certains élèves doivent me trouver insupportable. _________________Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirsMatteoNiveau 6Je n'aime pas parler mais je suis aussi probablement un peu maso, au moment des comptes ça doit se compenser MahautNiveau 5Bonjour,Intéressant ce fil. Je vous envoie une méthode pour construire sa séquence en histoire , méthode délivrée par l'équipe des formateurs de l'académie d'Amiens. jJ'espère que cette méthode vous aidera comme elle m'a aidée1. Identifier les enjeux de la séquence dans les programmes 2. Choisir les compétences qui seront travaillées dans la séquence l'enseignant sélectionne celles qui lui semblent les plus pertinentes pour ce Sélectionner les informations que les élèves devront mémoriser à l'issue de la séquence4. Construire les activités à réaliser pour atteindre les compétences et connaissances sélectionnées5. Bâtir une évaluation reprenant les objectifs annoncésDernière édition par henriette le Jeu 25 Aoû 2022 - 1133, édité 1 fois Raison Couleur supprimée l'indigo est réservé à la modérationIsis39Enchanteur Matteo a écritPersonnellement je n'aime pas du tout parler, je suis de ceux qui trouvent leur pensée la meilleure au monde quand elle est dans ma tête et défaillante pour ce qui en sort. Donc un peu comme Elyas je mesure à quel point c'est difficile de véritablement transmettre quelque chose, peu importe les modalités. Ça tombe bien, notre travail n'a pas vocation à être ailleurs, c'est la critique que n'a cessé de me faire le chargé de mission d'inspection, que je n'étais pas assez dans le "récit du professeur", c'est parce que le terrain était 100% pour l'inductif que je n'ai pas écouté ce qu'il m'a dit. Et quand j'ai essayé, je n'ai pas vraiment réussi, parce que j'avais perdu l'occasion de rendre solennelle ma parole dès le début. Et ce "récit du professeur" était une attente forte, visiblement relativement nouvelle vu ce que les collègues pensaient être la séance parfaite à montrer ad nauseam. Donc bon, j'aimerais bien savoir aussi ce que c'est vu qu'on me le franchement, je ne pense pas que les questions sur document les exposés ou les études de cas soient des méthodes particulièrement indépassables de formation intellectuelle aux "méthodes et compétences", pas plus que ne l'était l'infini drill des dissertations. C'est en voie d'être dépassé en haut lieu je pense vu l'emphase sur l'explicite l'explicite l'explicite. Je me souviens d'une époque où le récit du professeur c'était le mal absolu. Mes collègues d'alors qui avaient de la bouteille me disait "tu verras, ça reviendra." Et effectivement. On fait des réformes sans faire le bilan de celle d'avant, sans garder ce qui peut être bien. En ce moment la mode est aux études de cas systématiques, ce qui n'est forcément bien. Bref, j'ai dépassé les modes et j'adapte la méthode pédagogique aux chapitres connaissances et compétences à travailler.Ha_xExpert spécialisé Isis39 a écritOn fait des réformes sans faire le bilan de celle d'avant, sans garder ce qui peut être bien. En ce moment la mode est aux études de cas systématiques, ce qui n'est forcément bien. Bref, j'ai dépassé les modes et j'adapte la méthode pédagogique aux chapitres connaissances et compétences à travailler. Ordres et contre-ordres existent toujours me semble t-il, quand je suis entré dans le métier, les rois de la plaque à induction tenaient le haut du pavé. Je ne sais plus comment ça a lors de mon dernier PPCR, on a une caricature d'IPR qui dégommait tout le monde, parce que sinon c'est pas drôle Salle 1, la mienne, ma classe, autobus, mon cours, frontal/magistral, ok si vous voulez et si ça vous fait plaisir, magistral/dialogué quasi hurlements de l'IPR en entretien trop frontal, trop classique, pas assez de socle, pas assez de compétences, pas de co-construction, très vilain, passez l'agrégation et filez au lycée... Salle 2, collègue X, classe 2, îlots bonifiés, ceintures, le nec plus ultra de la compétence, collègue charmant qui bossait énormément dégommage en règle de l'IPR pas de récit, c'est mal, pas assez dirigiste, vous n'êtes pas un maître-nageur, ces méthodes ne sont pas adaptées, vous ne respectez pas les programmes, je reviendrai vous voir...Bon après on s'est dit que le personnage n'était pas lui même adapté, et qu'on se ficherait du c'est faire cours de la façon la plus adaptée aux élèves qu'on a en face de nous, les modes en cours, les préconisations pédagogiques, plus rien à fiche. Désolé pour la le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirsSwagocanNiveau 1Merci pour la création de ce fil que je consulterai avec attention pendant ma première année de titu ! Isis39Enchanteur Swagocan a écritMerci pour la création de ce fil que je consulterai avec attention pendant ma première année de titu ! Bienvenue et n’hésite pas à poser des LaetitiaBon génie Elyas a écritPardon mais le magistral est sans doute l'une des techniques les plus difficiles à mettre en oeuvre dans une classe parce qu'il demande - un talent de conteur ou une expérience assez poussée du discours en une écriture en avance du discours et l'intelligence de savoir le une prosodie à anticiper pour que les élèves comprennent le nécessaire à noter et le superflu les élèves lents à l'écrit vous en remercieront.- une organisation du cours magistral pour donner le temps aux élèves de vérifier qu'ils ont bien pris ce qu'il une pédagogie du tableau l'anticipation dans son discours lors de l'écriture et de la réflexion sur la prosodie des connaissances essentielles que les élèves doivent ça, le cours magistral ne servira qu'aux élèves qui aiment ça et aux élèves pro de l'esquive dans le travail parce qu'un cours magistral mal ficelé, c'est l'extase pour eux pour ne rien faire. Ensuite, il y a le public captif qui ne suit pas et n'est pas retenu par manque de construction du cours qui va commencer à faire le sans doute la technique la plus compliquée avec un public hétérogène tout en voulant les faire réussir et apprendre un contenu s'y cassent les dents. D'ailleurs, la plupart des gens préfèrent le cours dialogué qui permet 3 mn de temps magistral de temps en temps à un vrai cours magistral complet. Certes. Maintenant, il ne faut pas en faire toute une affaire. Si l'on veut un bon cours magistral, il faut bien bien maîtriser ce que l'on a à dire. Face à un public de secondaire ou début de licence, il peut être bon de bien "capter l'attention" au tout début, par une fausse question. Les élèves adorent qu'on leur raconte des histoires. Ce qui fait que l'amorce "mais, dites, au fait, je ne vous ai pas raconté l'histoire de..." ça fonctionne à peu près à tous les coups... Quand on a besoin d'explications techniques, ça peut être bon d'anticiper les schémas à faire au tableau. Mais après, ça vient avec l'expérience, il me semble. Malaga a écritPour préparer un nouveau chapitre je précise que j'enseigne au collège, je commence par lire le programme. Puis je regarde la fiche Eduscol ; la suivre n'est pas obligatoire mais cela aide à comprendre le "sens" du chapitre, ce qui plutôt utile quand on débute. Je me note les connaissances qui me paraissent indispensables à faire acquérir aux élèves ainsi que les compétences que je veux leur faire travailler. Puis j'organise mon chapitre en plusieurs parties le plus souvent 3 ou 4 parties et parfois, ces parties comprennent elles-mêmes des sous-parties. Pour chaque partie, je réfléchis à la façon dont je veux faire bosser mes élèves vont-ils compléter un tableau ? Réaliser une carte ? extraire des infos sur un document pour produire un petit texte ? vont-ils bosser seuls, en binôme, en groupe groupe que je constitue ou que les élèves font etc.. J'écris aussi la trace écrite que j'appelle le bilan que je dicte quand je suis avec des "grands", que j'écris au tableau avec les "petits" bon, ça, j'imagine que ce n'est pas du tout ce qui est demandé dans les INSPE mais, pour moi, c'est la façon la plus efficace de procéder et la plus rassurante pour les élèves. Quand cela me parait utile, je commence avec un document d'accroche pour faire réagir les élèves cela peut être un lien avec l'actualité, une photo qui les interroge etc. Comme toi, la base, c'est le programme que je trouve souvent très mal présenté, parfois absolument pas assez précis sur les notions à aborder, on touche notamment le fond avec certains chapitres de 3e.... Eduscol, j'ai eu regardé, je n'y vais même plus. Comme toi, je me note les connaissances qui me paraissent indispensables à faire acquérir aux élèves. Et je regarde ce que je veux qu'ils étudient comme types de doc, selon le chapitre. Ce qui me donne les compétences travaillées accessoirement. Mais parce que j'ai qq années derrière moi et que je fais à peu près ce que je veux, en pensant avoir grosso modo les compétences pour faire ce que je fais. Puis la trame du chapitre, sur diaporama, avec les documents et le texte précis des leçons, qui sont tjrs vidéo-projetées. Toujours avoir en tête le principe simple "qu'est-ce que les élèves ne peuvent pas ignorer". Pour éviter les longueurs. Je me donne comme objectif "une heure de cours, une leçon à apprendre". Rarement moins. Puis je fais la fiche de cours correspondante je ne fais pas écrire les leçons, elles sont lues en classe, décortiquées, et on travaille plutôt en classe sur le début de leur mémorisation, avec les documents essentiels pour la crise de 29, une photo de la panique à Wall Street, un graphique, une "Une" de journal, etc. avec le plus souvent une chronologie, une carte et parfois des encarts de révision Marx quand je fais les débuts de l'URSS. Je ne fais prendre de notes que sur des documentaires, des films. Éventuellement une fiche avec un point méthodo. Ou une fiche d'activité complète, qui suppose forcément de travailler sur un nombre très limité de doc souvent un seul, ou deux avec, en histoire, presque tjrs un exercice d'analyse du document qui parle, à qui il s'adresse, dans quel contexte etc. Impensable d'utiliser un document sans l'analyser au préalable. Et des tests très très fréquents sur la dernière leçon à apprendre. Je mets à disposition des élèves la liste des questions sur les leçons, que je peux leur poser et dans laquelle je pioche lors des mes derniers élèves, il faut surtout que "je ne change rien à ma manière de faire cours" tests compris, donc je ne dois pas être si loin du compte... Bon, c'est la parole de quelques élèves. Et c'est uniquement ma manière de construire mes cours que je décris. À chacun de trouver son mode de fonctionnement...Tout ça, ce sont des conseils de "vieille". Pas forcément conforme à ce que l'on attend à l'ESPE. Mais beaucoup de choses devraient pouvoir être pardonnées si l'on mène un travail rigoureux sur docs pas trop, vaut mieux un doc bien choisi travaillé à fond que du papillonage/butinage anhistorique et que l'on se montre soucieux de donner de solides bases méthodologiques aux édition par Marie Laetitia le Sam 27 Aoû 2022 - 1308, édité 1 fois_________________ Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner J. Brel, La BastilleAntigone, c'est la petite maigre qui est assise là -bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout... Et on ne dit pas "voire même" mais "voire" ou "même".MahautNiveau 5Je voudrais apporter ma petite expérience à ce fil dans l’espoir d’aider des débutants. J’ai aujourd’hui 50 ans et suis passionnée par la me suis aussi longuement interrogée sur le comment ? Comment faire un bon cours, qui passionne les élèves, les mette en situation de recherche, permette d’acquérir des connaissances ,de travailler des compétences. Au risque de déplaire à certains , voici la conclusion que je retire aujourd’hui /- N’attendez pas trop des formations dispensées par les instituts. Celles-ci concernent rarement la construction de séquence , séance. Personnellement ,j’ai arrêté ces formations le jour ou le formateur a photocopié les pages d’un livre que je lui avais prêté ultérieurement et nous les a restitué comme contenu de formation . En revanche les livres de Sylvain Connac, Gérard de Vecchi m’ont beaucoup aidé à envisager des stratégies coopératives avec mes élèves de collège. Je me suis ensuite intéressée à l’enseignement de l’histoire géo ailleurs, en Belgique francophone et au Québec. J’ai adoré leur pratique de l’enquête que j’ai mis en place avec mes élèves. J’ai pu ainsi élaborer ma propre méthode pédagogique qui me correspond. Ceci m’a d’ailleurs valu un excellent lors de mon donnerai également ce conseil aux débutants il faut que le plan de cours permette à la fois le cours dialogué mais aussi le travail de groupe , la reprise par le professeur conceptualisation et le travail en autonomie. Ceci permet de cadrer les élèves , surtout au collège. Evitez les tâches du style le professeur d’histoire a oublié son cours, réalisez le à l’aide des documents distribués »Avec le recul , ce que je déplore , c’est que au nom de la soi-disant liberté pédagogique », le ministère nous laisse nous dépatouiller avec les programmes . Je trouve que la façon d’enseigner l’histoire en Belgique et au Québec est davantage centrée sur l’acquisition des compétences historiques. Le gouvernement a fait un choix en donnant des directives claires quant aux compétences et concepts à enseigner. J’en profite pour vous suggérer la lecture d’un livre de Dalongeville qui a le mérite d’analyser les pratiques des enseignants en France mais aussi ailleurs et de prendre du recul. Je vous en livre ici un extrait A la lecture du schéma 2, auquel nous souscrivons, plusieurs questions se bousculent. Pourquoi n’est-il pas la matrice des programmes d’histoire ? Est-ce au nom de la liberté pédagogique ? Celle-ci n’est-elle pas l’alibi du manque de formation des enseignants d’histoire en didactique ou en pédagogie ? Car, soyons honnêtes, en France, les enseignants d’histoire ne sont pas ou peu formés, mais ils sont libres d’user de la pédagogie de leur choix ! D’ailleurs , les conditions pour qu’ils choisissent une pratique ne paraissant pas réunies, nous craignons qu’en réalité ils ne choisissent pas, car ils sont contraints de reproduire peu ou prou les pratiques qu’ils ont connues quand ils étaient élèves. » Enseigner l’histoire, enjeux et défis » Alain Dalongeville, Marc André Ethier, David spécialisé Marie Laetitia a écrit Elyas a écritPardon mais le magistral est sans doute l'une des techniques les plus difficiles à mettre en oeuvre dans une classe parce qu'il demande - un talent de conteur ou une expérience assez poussée du discours en une écriture en avance du discours et l'intelligence de savoir le une prosodie à anticiper pour que les élèves comprennent le nécessaire à noter et le superflu les élèves lents à l'écrit vous en remercieront.- une organisation du cours magistral pour donner le temps aux élèves de vérifier qu'ils ont bien pris ce qu'il une pédagogie du tableau l'anticipation dans son discours lors de l'écriture et de la réflexion sur la prosodie des connaissances essentielles que les élèves doivent ça, le cours magistral ne servira qu'aux élèves qui aiment ça et aux élèves pro de l'esquive dans le travail parce qu'un cours magistral mal ficelé, c'est l'extase pour eux pour ne rien faire. Ensuite, il y a le public captif qui ne suit pas et n'est pas retenu par manque de construction du cours qui va commencer à faire le sans doute la technique la plus compliquée avec un public hétérogène tout en voulant les faire réussir et apprendre un contenu s'y cassent les dents. D'ailleurs, la plupart des gens préfèrent le cours dialogué qui permet 3 mn de temps magistral de temps en temps à un vrai cours magistral complet. Certes. Maintenant, il ne faut pas en faire toute une affaire. Si l'on veut un bon cours magistral, il faut bien bien maîtriser ce que l'on a à dire. Face à un public de secondaire ou début de licence, il peut être bon de bien "capter l'attention" au tout début, par une fausse question. Les élèves adorent qu'on leur raconte des histoires. Ce qui fait que l'amorce "mais, dites, au fait, je ne vous ai pas raconté l'histoire de..." ça fonctionne à peu près à tous les coups... Quand on a besoin d'explications techniques, ça peut être bon d'anticiper les schémas à faire au tableau. Mais après, ça vient avec l'expérience, il me semble. Malaga a écritPour préparer un nouveau chapitre je précise que j'enseigne au collège, je commence par lire le programme. Puis je regarde la fiche Eduscol ; la suivre n'est pas obligatoire mais cela aide à comprendre le "sens" du chapitre, ce qui plutôt utile quand on débute. Je me note les connaissances qui me paraissent indispensables à faire acquérir aux élèves ainsi que les compétences que je veux leur faire travailler. Puis j'organise mon chapitre en plusieurs parties le plus souvent 3 ou 4 parties et parfois, ces parties comprennent elles-mêmes des sous-parties. Pour chaque partie, je réfléchis à la façon dont je veux faire bosser mes élèves vont-ils compléter un tableau ? Réaliser une carte ? extraire des infos sur un document pour produire un petit texte ? vont-ils bosser seuls, en binôme, en groupe groupe que je constitue ou que les élèves font etc.. J'écris aussi la trace écrite que j'appelle le bilan que je dicte quand je suis avec des "grands", que j'écris au tableau avec les "petits" bon, ça, j'imagine que ce n'est pas du tout ce qui est demandé dans les INSPE mais, pour moi, c'est la façon la plus efficace de procéder et la plus rassurante pour les élèves. Quand cela me parait utile, je commence avec un document d'accroche pour faire réagir les élèves cela peut être un lien avec l'actualité, une photo qui les interroge etc. je ne fais pas écrire les leçons, . Tu veux dire qu'ils n'ont pas de "trace écrite de leçon" ? Comment fais tu ? tu donnes des photocopies? Tu fais ainsi pour tous les niveaux ?_________________On est belle et on ne se tait pas, on n'est jamais trop vieille pour quoique ce soitbeaverforeverHabitué du forumQuand vous préparez la première heure de votre premier cours, écrivez les connaissances essentielles que vous voulez que vos élèves retiennent, en prenant bien en compte le niveau concerné 6e, 5e... Le lendemain, relisez ces connaissances essentielles et divisez les par deux ou par trois. Bien souvent l'enseignant débutant surestime les capacités des élèves. Or, il est beaucoup plus facile, en terme de lien avec les élèves et de gestion de classe, de commencer par une heure de cours trop facile, puis de monter les exigences que de mettre l'ensemble des élèves en échec dès le début puis de recoller les sacré beaverforever a écritQuand vous préparez la première heure de votre premier cours, écrivez les connaissances essentielles que vous voulez que vos élèves retiennent, en prenant bien en compte le niveau concerné 6e, 5e... Le lendemain, relisez ces connaissances essentielles et divisez les par deux ou par trois. Bien souvent l'enseignant débutant surestime les capacités des élèves. Or, il est beaucoup plus facile, en terme de lien avec les élèves et de gestion de classe, de commencer par une heure de cours trop facile, puis de monter les exigences que de mettre l'ensemble des élèves en échec dès le début puis de recoller les morceaux. On a tous dit qu'on listait les connaissances qu'il y aura dans la leçon. C'est très important. Un des principaux reproches souvent faits aux stagiaires chez moi est que le cours était vide de connaissances LaetitiaBon génie sookie a écrit Marie Laetitia a écrit Elyas a écritPardon mais le magistral est sans doute l'une des techniques les plus difficiles à mettre en oeuvre dans une classe parce qu'il demande - un talent de conteur ou une expérience assez poussée du discours en une écriture en avance du discours et l'intelligence de savoir le une prosodie à anticiper pour que les élèves comprennent le nécessaire à noter et le superflu les élèves lents à l'écrit vous en remercieront.- une organisation du cours magistral pour donner le temps aux élèves de vérifier qu'ils ont bien pris ce qu'il une pédagogie du tableau l'anticipation dans son discours lors de l'écriture et de la réflexion sur la prosodie des connaissances essentielles que les élèves doivent ça, le cours magistral ne servira qu'aux élèves qui aiment ça et aux élèves pro de l'esquive dans le travail parce qu'un cours magistral mal ficelé, c'est l'extase pour eux pour ne rien faire. Ensuite, il y a le public captif qui ne suit pas et n'est pas retenu par manque de construction du cours qui va commencer à faire le sans doute la technique la plus compliquée avec un public hétérogène tout en voulant les faire réussir et apprendre un contenu s'y cassent les dents. D'ailleurs, la plupart des gens préfèrent le cours dialogué qui permet 3 mn de temps magistral de temps en temps à un vrai cours magistral complet. Certes. Maintenant, il ne faut pas en faire toute une affaire. Si l'on veut un bon cours magistral, il faut bien bien maîtriser ce que l'on a à dire. Face à un public de secondaire ou début de licence, il peut être bon de bien "capter l'attention" au tout début, par une fausse question. Les élèves adorent qu'on leur raconte des histoires. Ce qui fait que l'amorce "mais, dites, au fait, je ne vous ai pas raconté l'histoire de..." ça fonctionne à peu près à tous les coups... Quand on a besoin d'explications techniques, ça peut être bon d'anticiper les schémas à faire au tableau. Mais après, ça vient avec l'expérience, il me semble. Malaga a écritPour préparer un nouveau chapitre je précise que j'enseigne au collège, je commence par lire le programme. Puis je regarde la fiche Eduscol ; la suivre n'est pas obligatoire mais cela aide à comprendre le "sens" du chapitre, ce qui plutôt utile quand on débute. Je me note les connaissances qui me paraissent indispensables à faire acquérir aux élèves ainsi que les compétences que je veux leur faire travailler. Puis j'organise mon chapitre en plusieurs parties le plus souvent 3 ou 4 parties et parfois, ces parties comprennent elles-mêmes des sous-parties. Pour chaque partie, je réfléchis à la façon dont je veux faire bosser mes élèves vont-ils compléter un tableau ? Réaliser une carte ? extraire des infos sur un document pour produire un petit texte ? vont-ils bosser seuls, en binôme, en groupe groupe que je constitue ou que les élèves font etc.. J'écris aussi la trace écrite que j'appelle le bilan que je dicte quand je suis avec des "grands", que j'écris au tableau avec les "petits" bon, ça, j'imagine que ce n'est pas du tout ce qui est demandé dans les INSPE mais, pour moi, c'est la façon la plus efficace de procéder et la plus rassurante pour les élèves. Quand cela me parait utile, je commence avec un document d'accroche pour faire réagir les élèves cela peut être un lien avec l'actualité, une photo qui les interroge etc. je ne fais pas écrire les leçons, . Tu veux dire qu'ils n'ont pas de "trace écrite de leçon" ? Comment fais tu ? tu donnes des photocopies? Tu fais ainsi pour tous les niveaux ? Oui. En contrepartie, j'ai récupéré le temps gagné pour leur faire faire beaucoup d'exercices sur doc ou rédac de récits, et là , ils grattent, grattent... _________________ Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner J. Brel, La BastilleAntigone, c'est la petite maigre qui est assise là -bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout... Et on ne dit pas "voire même" mais "voire" ou "même".Sujets similairesConseils pour bien débuter l'année en tant qu'enseignant stagiaire STMS lycée pro !Contractuel sans affectation cette année, et vœux pour l'année prochaine ?Débuter au collège en REP une année pas à pasDébuter l'année en 3èmeHistoire Quelques cours niveau collège pour aider les stagiaires à débuter l'annéeSauter versPermission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Basket — par Julien Lampin, le 25 avril 2020 1622 Et de 4.. Pour la 4e journée de suite, le Reims Basket Féminin a annoncé ce samedi une nouvelle joueuse qui fera partie de l’effectif 2020/2021. Désireuse d’écouter les consignes, Coline Franchelin reste à la maison, celle du RBF. Meneuse de caractère malgré son jeune âge, Coline Franchelin sera elle aussi encore pétillante la saison prochaine. C’est l’une des bonne révélations de cette saison. Arrivée auréolée d’un titre de championne de France Espoirs avec l’ASVEL et d’une médaille de bronze au championnats d’Europe U20 en République Tchèque, Coline Franchelin a réalisé la saison attendue. De l’énergie, du caractère, et un leadership naturel qui a vite conquis René Tys. Des éléments qui collent forcément avec le style apprécié par Julien Pincemin. Désireuse de grandir au sein de l’effectif rémois, la Rémoise d’adoption a vite trouvé ses marques. A tel point qu’en plus de donner le ton sur les parquets, elle a vite pris le lead pour rythmer les clappings d’après victoire. Sur le terrain surtout, l’étudiante en Staps aura tenu un rôle non négligeable, profitant des 21 minutes en moyenne dont elle bénéficiait par match pour s’exprimer. Appréciée pour son énergie, Coline Franchelin n’a pas été avare en efforts, fidèle à son style. Plutôt altruiste meilleure passeuse avec 4,1 passes de moyenne par match, elle aura encore à améliorer sa réussite au shoot malgré ses 5,9 points de moyenne. Consciente de devoir prendre un peu plus de responsabilités au tir, elle avait déjà considérablement amélioré son scoring sur les derniers matchs diffusés en 2020, jusqu’à réaliser sa meilleure performance lors du dernier match contre Mondeville. Au prix d’une prolongation haletante, l’internationale française a sorti une prestation XXL, mêlant combativité, adresse et sang froid pour culminer à 18pts. Autant d’éléments qui seront précieux pour la prochaine saison. L’adjectif pétillante » lui va plutôt bien… Coline, tu es la 4e joueuse annoncée à poursuivre l’aventure, qu’est-ce que t’inspires ce groupe ? En effet je suis très contente d’annoncer que je continue l’aventure au sein du RBF. L’équipe de la saison prochaine se forme petit à petit et pouvoir compter sur un noyau de joueuses déjà en place depuis cette année est signe de fidélité de la part du club. La fin de saison est frustrante, qu’est-ce que tu attend de la prochaine ? Un projet se construit dans le temps, nous avons été stoppées dans notre élan cette année pour cause de crise sanitaire. Il faut donc remonter dans le train et commencer une aventure avec encore de belles et nouvelles ambitions. Après une première saison réussie, que veux-tu améliorer pour être encore meilleure la saison prochaine ? A titre individuel je veux être plus constante au niveau de mes performances pour pouvoir les apporter davantage au collectif. En tout cas il me tarde de retrouver un René Tys bouillant.. Mais avant ça, protégeons-nous et respectons les consignes.
Foot - Mercato Guitane Quand Reims est arrivé, j’ai dit oui tout de suite» Publié le 28 octobre 2021 à 16h20 par Alexis Bernard Perle du football français depuis son plus jeune âge, Rafik Guitane a vu ses débuts dans le monde professionnel marqués par plusieurs blessures. A 22 ans, le milieu de terrain retrouve enfin le sourire du côté du Maritimo, où il est prêté pour la deuxième saison consécutive. Armé d’un mental d’acier, le Rémois affine les réglages de son retour au plus haut-niveau avec le rêve de pouvoir enfin casser la baraque en Ligue 1. Rafik ! C’est un plaisir de t’avoir sur Pour commencer, est-ce que tu peux nous raconter ton mercato estival, ce transfert de Rennes à Reims, puis ce nouveau prêt au Maritimo ?Après une bonne fin de saison au Maritimo, je suis retourné à Rennes, pour faire la préparation estivale. Je pensais rester, reprendre avec le groupe et tenter de m’imposer. Il y avait un nouveau coach, un nouveau président, j’espérais avoir une chance de pouvoir montrer ce que je peux faire et poursuivre mon histoire avec Rennes. Mais on m’a fait comprendre que non, en m’intégrant dans le loft des joueurs qu’on souhaite voir partir. Rapidement, il y a eu des discussions entre des clubs et mes représentants KDS Football Management. Et quand Reims est arrivé, j’ai naturellement été tenté, attiré. J’ai dit oui tout de suite sourire. Pourquoi naturel ? Qu’est-ce qui te séduit à Reims ?C’est un club avec de l’ambition et qui fait confiance aux jeunes. J’aime l’état d’esprit, l’histoire et les intentions. C’est un club qui me correspond et dans lequel je pense pouvoir m’épanouir ces prochaines années. En attendant, je poursuis mon chemin, mon apprentissage, au Maritimo. Et j’en suis très content. Revenir au Maritimo aussi, c’était naturel ? C’est venu rapidement dans les discussions avec Reims que de repartir sur un prêt ?Oui, on en a parlé dès le début. C’était une opportunité et c’était facile de poursuivre ici. Ça n’a pas été simple au départ car je n’avais jamais quitté la France. Je ne connaissais pas cette île, je ne connaissais personne là -bas et je ne parlais pas la langue. Il a fallu s’adapter ! Mais avec le temps, j’ai réussi à trouver un équilibre et j’ai pu enfin faire une bonne saison. Pour la première fois depuis que je suis professionnel, j’ai pu jouer 25-26 matchs et parvenir à être performant. Ça fait du bien ! C’est top de pouvoir briller quand tout va bien. Ça l’est beaucoup plus quand il y a des obstacles à surmonter »Il est clair que tu n’as pas été épargné par les blessures depuis tes débuts… Au point de douter, de se dire que tu pourrais arrêter » ? Je ne te cache pas qu’au début, sur ma première blessure, au Havre, ça été difficile. Les ligaments croisés, quand tu démarres dans le monde professionnel, il faut être solide. Je ne m’étais jamais blessé comme ça, je ne connaissais pas. Mais je pense que ça m’a vraiment endurci. J’ai dû apprendre, physiquement et mentalement, à franchir des étapes difficiles. Ça m’a forgé, ça m’a donné une force de caractère que j’ai encore aujourd’hui. Une force qui m’a permise, je pense, d’affronter ma deuxième rupture des ligaments croisés, à mon arrivée à Rennes. Je venais de signer, ça m’a clairement brisé dans mon élan et le rythme que je recommençais à trouver. Ça été difficile à accepter mais encore une fois, je me suis battu pour revenir, pour prendre en masse musculaire. Dès fois, ça m’est arrivé de craquer, bien sûr. Quand tu vois tes coéquipiers s’entraîner et que toi, tu as juste le droit de courir, faut être costaud. A défaut d’avoir encore pu prouver sur le terrain les espoirs placés en toi, tu fais preuve d’une force mentale hors du commun pour revenir à chaque fois. C’est aussi ça, être un champion. Pouvoir se relever chaque fois qu’on tombe, non ?Je suis totalement d’accord… C’est top de pouvoir briller quand tout va bien. Ça l’est beaucoup plus quand il y a des obstacles à surmonter, des montages à soulever. Dans chaque blessure, il y a un défi à relever. Et il y a de quoi apprendre, de quoi se forger un mental pour être en capacité de tout affronter ensuite. Quand tu entends certaines personnes te dire que ça arrive de ne jamais se remettre d’une rupture des ligaments croisés… Il faut être solide. Il faut être entouré. Tu as très peu joué avec le Stade Rennais, finalement. Qu’est-ce que tu retiens de cette expérience ? Est-ce tu ne ressens pas une certaine frustration ?J’ai beaucoup appris durant cette période. Comme je te l’ai dit, les blessures m’ont beaucoup appris et m’ont permis de me construire. Ce n’est pas du temps de perdu, c’est un apprentissage. Difficile, douloureux, parfois. Mais j’ai appris beaucoup de choses sur moi, sur le haut-niveau. Est-ce que j’ai mis tous les ingrédients, est-ce que j’ai fait des erreurs ? C’est possible, je ne sais pas. Qui ne fait pas d’erreur ? C’est en se trompant qu’on apprend. Qui peut dire que c’est mon hygiène de vie qui est à l’origine de ma blessure aux ligaments croisés ? Je retiens juste que j’ai appris et mis des choses en place depuis mes blessures. Je suis beaucoup plus à l’écoute de mon corps et dès que je ressens quelque chose, de suite, je mets en place des choses. J’ai mal à tel endroit, je ne me pose pas de question kiné rire. Dans chaque expérience, dans chaque épreuve, il y a de quoi puiser des enseignements. C’est mon cas. Jouer contre ses propres idoles, c’est une chance incroyable… »Depuis très jeune, tu es le joueur que l’on remarque, celui qui fait la différence, celui qui apporte ce petit grain de folie. C’est un poids, une responsabilité supplémentaire, de savoir qu’on attend plus de toi, que les gens qui te regardent jouer attendent forcément un truc en plus » ?C’est sûr que ça fait plaisir d’entendre du bien sur toi, sur ce que tu fais, ce que tu proposes. Mais je ne réfléchis pas comme ça ». Je ne cherche pas à faire des choses juste parce que les gens attendent un truc en particulier de moi. Je joue naturellement, comme je le ressens. J’essaye d’être pleinement moi-même. Après, j’ai encore beaucoup de défauts sourire. Des choses que j’essaye de corriger, d’améliorer. Et aujourd’hui, ma priorité, c’est vraiment d’être régulier. J’ai vraiment kiffé la saison dernière car c’est la première où j’ai pu jouer, enchaîner et trouver cet équilibre. Alors oui, j’ai envie d’être le Rafik Guitane qui fait la différence, etc… Mais avant tout, je veux jouer. Et si je suis revenu au Maritimo, c’est pour continuer sur ma lancée et confirmer ce que j’ai commencé à faire ici. Dans ton plan de vol, il y a terminer le travail au Maritimo et ensuite débarquer à Reims pour tout casser », en Ligue 1 ?Continuer à jouer avec Maritimo et montrer ce que je sais faire. Je pense que je n’ai pas tout montré encore, j’ai encore à prouver, notamment en jouant, en enchaînant. Ensuite, oui, il y aura Reims. C’est réellement un objectif revenir en France et jouer en Ligue 1, ce dont tous les joueurs français rêvent. Je n’ai pas eu l’opportunité de vivre ce rêve avec Rennes, j’espère avoir l’opportunité de le réaliser avec Reims. Et croiser le chemin de stars, qui sont aussi tes idoles, comme Neymar, comme Messi…Même s’ils n’étaient pas en Ligue 1, j’aurai quand même la motivation et l’envie d’y jouer sourire. Après, c’est sûr que c’est un plus s’ils sont là . Ce sont des joueurs qui ont marqué l’histoire du foot, dans les grandes lignes. Jouer contre ses propres idoles, c’est une chance incroyable… On verra si on peut venir concurrencer tout ce petit monde rire. En attendant, tu t’aventures sur les terres de Cristiano Ronaldo, une autre de tes idoles. A Madère, tu confirmes, c’est CR7 matin, midi et soir ?Ah c’est partout et tout le temps… C’est un Dieu vivant ici ! Il a très peu joué ici, au Nacional, mais c’est l’idole de toute l’île. Il est présent à tous les coins de rue, c’est quelque chose d’impressionnant. Mais bon, ce n’est pas n’importe qui. C’est Cristiano Ronaldo !
Destins croisés pour les deux candidats au titre sur le circuit qu’ils adorent de Francorchamps. Max Verstappen y a connu beaucoup d’infortunes avant d’enfin y triompher l’an dernier… au ralenti ! Tandis que Charles Leclerc y a enlevé sa première victoire en 2019, point de départ à ce que l’on croyait être une success-story… qui a ensuite connu pas mal de ratés. Article réservé aux abonnés Publié le 26/08/2022 à 0745 Temps de lecture 6 min D’aucuns continuent à le considérer comme à moitié belge » au nom de sa maman Sophie Kumpen, alors qu’il revendique avec force son attachement à la nationalité néerlandaise de son papa Jos, pour laquelle il a d’ailleurs opté le jour de ses 18 ans. Qu’à cela ne tienne, une chose demeure c’est bien à Francorchamps que Max Verstappen se sent le mieux au volant de sa Red Bull… C’est définitivement mon circuit préféré, et je me réjouis de le retrouver ce week-end, même si la pluie y est à nouveau annoncée, ce qui ne rendra le défi que plus grand », répétait à l’envi le confortable leader du championnat qui s’est également montré convaincu par les aménagements qui ont été effectués au nom de la fameuse cohabitation auto-moto. Ces bacs à graviers lui redonnent un caractère un peu old school’, et je trouve ça intéressant. Quant au Raidillon, son tracé est sensiblement différent, mais on y passera toujours à fond… » Cet article est réservé aux abonnés Avec cette offre, profitez de L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction Le journal en version numérique Un confort de lecture avec publicité limitée Le fil info La Une Tous Voir tout le Fil info Aussi en Formule 1 GP de Belgique la balade spadoise de Max l’extra-terrestre Le pilote néerlandais, champion du monde en titre, a survolé la course. Analyse Le Grand Prix de Belgique sauvé en 2023, reste à savoir quand… GP de Belgique victoire de Max Verstappen devant son coéquipier Sergio Perez et Carlos Sainz Formule 1 le Grand Prix de Belgique sur le circuit de Spa-Francorchamps confirmé pour 2023 GP de Belgique Verstappen et Leclerc gagnent une place sur la grille de départ, Yuki Tsunoda partira des stands Voir plus d'articles Allez au-delà de l'actualité Découvrez tous les changements Découvrir À la Une Le retour du Codeco, pour tenter de protéger le portefeuille des Belges Par Martine Dubuisson , Benoît July et Stéphane Vande Velde Vuelta Remco Evenepoel conforte son maillot rouge de leader Analyse L’Union n’a pas besoin de Mazzù pour être roi de la capitale Incendies en France un pompier de 19 ans mis en examen pour une trentaine d’incendies Décodage Enseignement quand le Pacte d’excellence nous fait une rentrée pas comme les autres Par Eric Burgraff et Charlotte Hutin Météo les nuages s’installent pour le début de la semaine références Herstal mise sur l'insertion socioprofessionnelle et la participation citoyenne IT une success story au féminin
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